Conferencia del Dr. Felipe Ferrer Aracil en el Simposio Internacional de Auriculoterapia 2006 (Lyon, Francia)
ESPACE MULTIMEDIA
Magazine multimedia numéro 4
LE DOCUMENT SONORE.
A propos de la naissance de l’auriculothérapie, Docteur Paul Nogier, vers 1980.
Cette fois-ci, nous avons retrouvé un enregistrement qui doit dater des années 1980, fait par un élève de Paul Nogier, au cours duquel celui-ci expose brièvement les origines de l’auriculothérapie. C’est un extrait court de 8 minutes, mais fort intéressant au point de vue historique.
Pour écouter cette conférence, c’est ci-dessous (appuyer sur le bouton lecture, sans oublier de connecter votre haut-parleur) :
Durée : 8′ 05″
LE DOCUMENT VIDEOGRAPHIQUE.
Communication scientifique au cours vème Symposium lnternational d’auriculothérapie de 2006.
Pour ce quatrième document vidéo, nous vous proposons l’intégralité de la communication du Docteur Felice Ferrer Aracil, médecin à Valencia (Espagne), et qui a développé une approche personnelle durant 25 ans de la prise en charge des patients atteints de troubles psychiatriques au travers de techniques basées sur l’utilisation d’anneaux-test contenant des substances médicamenteuses ou des neuro-transmetteurs, combinée à l’utilisation thérapeutique de champs magnétiques. Cette approche est personnelle, entièrement basée sur la perception du signe de Nogier, et reste donc à l’heure actuelle purement clinique. La technique n’en reste pas moins intéressante.
Cette présentation est intitulée “Auriculomedicina y psyquiatria”, (auriculomédecine et psychiatrie), elle est en espagnol.
Comme d’habitude, la qualité vidéo est adaptée à une transmission en streaming, mais elle permet de suivre efficacement cette présentation de 14 minutes environ.
Une version téléchargeable en qualité DVD est disponible pour les membres du GLEM.
Vous trouverez en annexe et en téléchargement la thèse complète (thèse de médecine) correspondante, largement documentée sur le sujet puisqu’elle ne fait pas moins de 212 pages, acceptée par un jury en Espagne.
Pour voir cette communication scientifique, c’est ci-dessous (appuyer sur le bouton lecture).